Entretien exclusif – Robert Rock

Il refuse de porter une casquette et travaillait dans un pro shop vendant des barres Mars il y a moins de 10 ans, mais rien de tout cela n’a arrêté ce pétillant Britannique dans son élan. Robert Rock, 33 ans, a déjà dompté le Tigre et est entré dans le top 50 mondial cette année, tandis qu'il se promène sur les fairways avec l'air d'un million de dollars dans les derniers articles de J. Lindeberg. TrendyGolf a rencontré celui que certains appellent le Justin Bieber du golf !

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Salut Robert, pourquoi choisis-tu de porter du J.Lindeberg ?

« Salut TrendyGolf ! Eh bien, j'ai toujours été fan du label – c'est ce qu'il y a de mieux. C'est le plus innovant et le plus actuel, ce n'est pas typiquement golfique. Je n'ai jamais été fan du look sportif du golf, donc JL est parfait car ce sont généralement des vêtements que l'on peut porter sur et en dehors du parcours sans trop ressembler à un golfeur. C'est comme cela devrait être."

Vous êtes visiblement fan des principes modernes de la mode golfique...

« Décidément, j’aime les vêtements modernes avec des éléments classiques. JL incarne le nouveau changement dans la mode du golf et contribue à la réputation plus large du golf. Le golf est à la mode, le golf est cool, et des entreprises comme JL renforcent ce message auprès des nouveaux arrivants et de la jeune génération.

Quelle est l’importance de votre apparence sur le terrain de golf ?

"C'est important pour moi. Je joue désormais devant beaucoup de fans et de caméras de télévision et j'aime donc avoir l'air intelligent, sans en faire trop. JL suit bien cette ligne. Il taille bien, évidemment avec ses racines européennes la coupe est un peu plus serrée et c'est beaucoup plus tendance que le look baggy américain. Heureusement, cela me va bien.

Vous êtes connu pour ne pas porter de chapeau sur le Tour, quelle est l'histoire derrière ça ?

« Je suis un individu et je choisis de ne pas porter de chapeau parce que je ne veux pas me fondre dans la masse. Je reçois un peu de bâton de la part de Westy et des gars, mais ils sont juste jaloux ! Quand vous signez des contrats d'équipement, ils stipulent que vous devez porter une casquette, mais je n'aime pas qu'on me dise ce que je peux et ne peux pas porter, donc je prends moins d'argent à condition que je ne sois pas obligé de porter de casquette. . La plupart du temps, le climat et les conditions ne sont pas propices au port d'un chapeau et je n'ai jamais été tout à fait à l'aise d'en porter un, alors j'ai choisi de ne pas le faire.

Vous avez également une belle chevelure – vous ne voudriez pas la gâcher avec une casquette !

"Exactement! Mon barnet est devenu un peu une marque de fabrique. De toute façon, je ne suis pas particulièrement belle avec une casquette.

Est-ce que d'autres pros du Tour vous complimentent sur votre apparence ?

« Oui, je le fais, assez souvent. Je suis sûr que beaucoup d'entre eux aimeraient avoir la liberté de porter ce qu'ils veulent. Ils aiment tous JL et certains le portent en dehors du parcours par choix, alors je parie qu'ils aimeraient pouvoir le porter aussi sur le parcours ! Évidemment, Camilo Villegas est énorme pour la marque JL en Amérique – je n'ai pas vraiment sa silhouette mais je suis heureux d'être associé aux mêmes vêtements !

Que recherchez-vous principalement dans un uniforme du Tour ?

« Je regarde d'abord la forme des vêtements, j'aime le style européen, plus ajusté. Ensuite, il s’agit de couleurs – en général, j’aime les noirs, les blancs, les bleus marine et les gris. Je commence à être un peu plus aventureux avec les verts et les bleus plus clairs et JL m'a récemment envoyé un pantalon rouge mais je n'ai pas encore eu la bouteille pour les essayer en public !

Vous auriez dû essayer le pantalon rouge lorsque vous affrontiez Tiger Woods dans le groupe final à Abu Dhabi – lui dans sa chemise rouge et vous dans votre pantalon rouge…

« J'y ai pensé, mais cela aurait été très courageux, et probablement très stupide ! Vous ne voulez pas agacer Tiger ! J'ai joué la sécurité ce jour-là avec une chemise noire Vinson Fieldsensor et un pantalon gris. Cela a dû fonctionner parce que j'ai gagné, donc aucun regret.

Votre emploi du temps s'adapte actuellement à toutes les températures et à tous les climats, avec des conditions humides et un climat tropical. Comment les vêtements JL résistent-ils à ces défis ?

"C'est bien. Dans des conditions plus chaudes et plus humides, vous disposez de chemises et de pantalons synthétiques performants qui sont brillants en termes de gestion de l'humidité et vous laissent une sensation de fraîcheur. Il existe également de superbes produits imperméables qui s'agencent bien avec le reste de votre tenue. Une chose que j'ai remarquée en jouant à l'événement WGC à Miami cette année, c'est que le pantalon Troyan en polyester résistant à l'eau est un cadeau du ciel pour les conditions tropicales, car s'il pleut pendant 10 minutes, le pantalon résistera à l'eau, mais quand le soleil arrive alors le pantalon a la respirabilité et les propriétés de légèreté requises, vous n'avez donc pas besoin d'enfiler et d'enlever un pantalon imperméable tous les quelques trous.

D'un autre côté, vous avez l'habitude de jouer et de vous entraîner chez vous en Angleterre, où il fait généralement froid en hiver…

"En effet. Pour être honnête, dans l'ensemble, ce qu'il y a de mieux pour moi, ce sont les tricots : lorsque je joue dans des climats plus froids, comme au British Open ou même lorsque je m'entraîne chez moi à Birmingham, j'ai besoin de chemises en coton plus épaisses et de couches qui me gardent au chaud. mais ne limitez pas mes mouvements – JL est expert dans ce genre de choses et en plus, vous pouvez ensuite enfiler un jean et porter le pull ou le cardigan pour dîner parce que c'est tellement élégant.

Robert Rock porte J.Lindeberg sur la tournée européenne.

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